TEST DE L’INTÉGRÉ PIONEER SC-LX58 :
Caractéristiques Techniques de l'amplificateur SC-LX58 :
Construction
Amplificateur à énergie directe, 9 canaux, compatible 4 Ohms
2x DAC ESS SABRE ES9016S
Convertisseur N/A 192 kHz / 24 bits
Convertisseur A/N 96 kHz / 24 bits
Traitement Hi-bit 32
Amplification
Puissance RMS par canal : 190 W (à 1 kHz, 6 Ohms, 1 % DHT)
Puissance de sortie stable (8 Ohms, 9 canaux) : 85 W par canal
Réponse en fréquence : 5 Hz à 100 kHz (+0/-3 dB)
Rapport signal/bruit : 101 dB
Distorsion harmonique totale : 0,06 % ( 20-20 kHz, 8 Ohms, 50 W /ch)
Impédance enceintes : 4 à 16 Ohms
Son surround
Dolby Pro Logic IIz, Dolby TrueHD, DTS Neo X, DTS-HD High Resolution Audio, DTS-HD Master Audio, Modes surround 11 + 1 : Action, Drame, Jeu avancé, Sports, Classique, Rock/Pop, Stéréo étendue, Front Stage Surround, Sound Retriever AIR, ECO MODE 1, ECO MODE 2 + Phones Surround
Audio
Auto Level Control (multicanaux), Auto Surround, Commandes de tonalité graves/aiguës, Amélioration des dialogues, DNR (Réduction numérique des bruits), Convertisseur DSD vers PCM (2 canaux/multicanal), Contrôle de plage dynamique, Surround large, Surround casque, Front Stage Surround Advance, Mode loudness, Mode d'écoute nocturne, Fonction multi-zones, Paramétrage du niveau de sourdine, Paramétrage de la limite de volume, Paramétrage du niveau d’allumage, Contrôle de phase, Contrôle de phase Plus, Auto contrôle de phase Plus, Détection automatique de croisement, MCACC Avancé, MCACC manuel, PQLS : Bit-stream / Multi-surround / 2 canaux, Retard de son (LipSync), Auto Sound Retriever, Auto Sound Retriever pour ARC, Sound Retriever AIR, Sound Retriever link, Contrôle des ondes stationnaires
Mode Direct, EQ symétrique, Égalisation de caisson de basses, Enceintes virtuelles, Profondeur virtuelle, Surround virtuel arrière, Virtual Height, Virtual Wide, X-Curve, Contrôle de la polarité
Vidéo
Affichage sur téléviseur (GUI) : matriciel avec jaquette de l’album (HDMI seulement), 7 langues (Néerlandais, Anglais, Français, Allemand, Italien, Russe, Espagnol), Conversion de fréquence d’images, Deep Colour, Compatible avec les contenus 3D, Réducteur de bruit 3D (Triple HD Noise Reduction), x.v.Colour, Scaler vidéo 1080p et 4K, 4K Pass Through, 4K (zone principale) : jusqu’à 4K60p, 4:4:4, 24 bits
4K Dual (zone principale/HD : jusqu’à 4K60p, 4:2:0, 24 bits, Advanced Video Adjust, PureCinema, Stream Smoother, HDMI Standby Through
HDMI Standby Input Switching (commutation entrées HDMI en veille)
Réseau
Connecteur réseau Ethernet (RJ45)
Compatible réseau sans fil (avec adaptateur WiFi Pioneer AXF7031 fourni)
Network Standby
Certifié DLNA 1.5
Compatible HTC Connect et Windows 8
Application de contrôle
iControlAV5 (iOS et Android)
AVNavigator intégré, accessible via navigateur web
Lecture audio
Via réseau(*)/USB :
- MP3, WAV, AAC, WMA, FLAC, IAFF, DSD et Apple Lossless
- Transmission numérique iPod
Lecture audio 192 kHz / 24 bits : WAV, FLAC et AIFF
Lecture audio multicanal (5.1 24/96 max) : WAV, FLAC
Lecture Gapless : MP3, WAV, AAC, FLAC, IAFF et Apple Lossless
Via HDMI : SACD
Tuner radio
Tuner AM/FM avec RDS, Stations FM/AM préréglées : 63
Radios Internet : vTuner, Compatible Spotify
Compatibilité Apple
AirPlay, Contrôle iPod, Compatible avec iPhone, Générations compatibles via USB : iPhone 5/5S/5C, iPhone 4/4S, iPhone 3G/3GS, iPod touch 5G/4G/3G/2G/1G, iPod classic, iPod nano 7G/6G/5G/4G/3G. Fonctions prises en charge : lecture audio, pochette sur écran, chargement de la batterie
Connectique
7x entrées HDMI 2.0 3D/4K/ARC (dont 1 MHL) et 3x sorties
3x entrées / 1 sortie vidéo composite
2x entrée vidéo composantes et 1x sortie
2x entrées S/PDIF coaxiale assignables
2x entrées S/PDIF optique assignables et 1x sortie
3x entrées audio analogiques
2x sortie LFE pour caisson de basses amplifié
2x sorties pré-out stéréo Zone 2 et Zone 3
1x jeu de sortie pré-out 11.2
2x prises d'antenne (AM et FM)
1x prise casque en façade
1x port USB en façade
1x port USB pour adaptateur WiFi Pioneer AXF7031 (fourni)
1x RS-232C
1x entrée et 1x sortie IR
Borniers enceintes à vis
Généralités
Consommation : 330 W (0,1 W en veille)
Dimensions (lxhxp) : 435 x 185 x 441 mm
Poids : 15,3 kg
Mise en œuvre et rodage :
Recherche du sens de branchement
(Phase, fuite magnétique du transformateur) à l’aide d’un voltmètre : Normal, écart non significatif en sens opposé sur l’appareil testé
(Moins de 1).
Rodage d'une centaine d'heures, alternant le Magic CD de JMR, CD basses fréquences, fichiers QOBUZ. Cycles triple temporisation pour le rodage :
• Temps de chauffe - volume bas
• Extinction - refroidissement
• Temps de chauffe - volume soutenu.
Ressentis sur l'esthétique et la finition :
PIONEER a pour habitude sur sa série ÉLITE, de proposer des appareils dont l’esthétique est soignée, sur lesquels l’assemblage ou l’implantation ne souffre d’aucune critique. C’est ultra léché, et du plus plaisant pour l’œil des possesseurs.
L’écran
(Réglable en luminosité sur plusieurs paliers.) est d’une belle couleur, ni trop flashy, ni trop ‘’terne’’. Il reste très lisible éloigné de l’intégré. Il est aussi complet sur les informations qu’il affiche, le nombre d’enceintes en fonction
(Par rapport au signal reçu.), le format envoyé, le DSP choisi, le volume… Des voyants s’éclairent pour indiquer que le MCACC est en marche, ou que le signal HDMI est actif… Tout ce qu’il y a besoin est bien présent, ce qui devient rare au passage…
En basculant la ‘’languette’’ sous l’afficheur, vous trouverez la plupart des menus de la télécommande
(Plus une entrée MCACC, une casque, une USB et enfin une HDMI.), vous pouvez donc choisir de régler le SC-LX58 directement via les touches sous cette trappe. Bien qu’à mon sens, passer par la télécommande, ou mieux, par l’application dédiée
(Sous IOS ou ANDROID.) est bien plus simple, et plus ludique encore par l’AV CONTROL.
Concernant la télécommande, elle est longue, fine et tient bien en main, avec un petit plus fort appréciable, elle est rétroéclairée. Les touches réagissent bien aux pressions, la réaction de l’ampli est rapide. Seul le pavé rond central est un peu ‘’raide’’, il ‘’clic’’ sous les manipulations, un peu comme le fait une souris de PC pour imager. Rien de bien méchant me direz-vous
(Et vous auriez raison.), mais quitte à écrire les choses… Pour finir, la télécommande est peu directive, ce qui est toujours appréciable tant cela devient irritant de chercher ‘’ou’’ viser !

Passons maintenant vers l’arrière de l’appareil si vous le voulez bien.

Embase IEC
(Cordon secteur interchangeable.)

Entrées analogiques et module BLUETOOTH.

Sortie PRE OUT à double sortie SUBWOOFER.
(Caissons qui seront réglés indépendamment par le MCACC.)

Entrées numériques
(Assignables si besoin)

Borniers enceintes
(En nombre.) avec capuchons a ôter pour poser des câbles équipés en fiches bananes.
PS : Les bornes TOP MIDDLE sont celles qui servent lors d’une bi-amplication.
Aparté avant les écoutes :
Pour changer, je vais commencer cette aparté par le scaler qui équipe le PIONEER SC-LX58, option sur laquelle je passe ‘’plutôt’’ rapidement d’habitude…. Mais celui dont le SC-LX58 est pourvu effectuant un très bon travail, il mérite de s’y attarder quelques lignes.
Il ne m’a cependant pas été possible de vous faire l’essai de la résolution 4K, pour la simple raison que je ne suis pas équipé d’écran de cette résolution… Cependant, vu l’apport sur une ‘’simple’’ Full-HD, je n’ai que peu d’inquiétude
(Surtout quand vous voyez comment se débrouille le lecteur BDP-LX58 du même fabricant sur ce critère de la 4K.) sur ses aptitudes dans ce format.
J’ai donc relié ma Box-Tv Android de chez SFR
(Google Play-TV précisément.) ainsi que ma platine SONY BDP-S5100, que j’avais pris soin de paramétrer en 720P préalablement, sur les deux appareils. Une fois activé le scaler,
(Par la touche VIDEO P. située à droite du rond central sur la télécommande.) puis choisi le mode LCD dans ceux pré programmés (Vous y trouverez aussi un mode PDP, ou Vidéoprojecteur et un manuel ou tout, tout est paramétrable pour ceux équipés d’une sonde et logiciel ad hoc.), validé le choix du 1080/50Hz pour la Box et 1080/24P pour le lecteur Blu-ray, il ne me restait plus qu’à voir si changement il y avait.
Inutile de tourner autour du pot ! Sur le signal vidéo de ma Play-TV, l’apport ne s’est pas fait attendre. La stabilité est meilleure, les couleurs gagnent en ‘’pep’s’’ sans pour autant devenir flashy, les aplats prennent du gallon eux aussi et sans débordement s’il vous plait. Les fourmillements font plusieurs pas en arrière, et cela également sur les chaines SD, souvent plus problématiques sur ce point. La fluidité sur les effets verticaux m’apparaissent plus stables, ceux horizontaux bien que bons ne m’ont pas semblé énormément changés par apport à la Box reliée directement à l’écran. Jusqu’à ce que j’enlève le mode Auto
(Film ou vidéo.), car aussi bizarre que cela puisse paraitre, les mouvements de caméra ‘’coulent’’ mieux sans cette option. Le reste précité, ne subit aucun changement avec ou sans Mode Auto d’ailleurs. Je terminerai par la constatation d’une luminosité et d’un contraste agréablement mieux gérés. L’image HD et SD ressortent bel et bien bonifiés par les puces internes du PIONEER.
Sur un Blu-ray volontairement baissé sur sa résolution native, le gain est encore plus marqué que sur la GOOGLE PLAY. La plupart des bienfaits énumérés ci-dessus se retrouvent ici, mais avec en prime une profondeur d’image poussée, et une fluidité aussi bonne que par le lecteur lui-même. Ce qui est plutôt un compliment tant les lecteurs SONY sont bons sur la gestion du 24P
(Il semble que les lecteurs PIONEER vont plus loin d’après les retours utilisateurs ou testeurs.). Un dernier mot sur le piqué qui fait un joli bond en avant sur sa généralité, mais encore plus sur des gros plans. Très sympa sur des visages ridés, ‘’poilus’’, ou sur les jolis minois d’actrices aux charmes transperçant l’écran.
N’hésitez pas à vous servir du scaler interne si vos sources sont
(Comme celles de cet essai.) de gamme standard.
Un ‘’crochet’’ par les options sonore, et il sera temps d’attaquer le rendu, de cet intégré de chez PIONEER.
Tout se passe en appuyant sur la touche Audio P. placée à gauche du rond central de la télécommande. Une fois fait, vous vous retrouvez avec une pléthore de réglages possibles !! Et pour en avoir fait le tour, certains restent ‘’mystérieux’’ sur leur apport, alors qu’inversement, d’autres changent presque radicalement les choses.
Voici la liste des réglages possibles, dans l’ordre ou ils apparaissent :
-
MEMORY (de 1 à 6.) : Permet de choisir parmi les mémoires du MCACC.
-
EQ : On ou OFF.
-
S-WAVE : On ou OFF.
-
PHASE : Full Band
(A choisir par prédilection de mon avis.), On ou Off.
-
PHASE C+ :
(Sous cette dénomination se cache en fait la synchro image/son.) Auto ou réglable par pas de 1MS.
-
DELAY : Réglable par pas de 5MS.
(Je conseille de laisser à zéro si le PHASE C+ actif.).
-
TONE : Bypass ou réglable sur les basses et aigus.
(Je conseille le mode BYPASS qui sonne un soupçon plus doux.).
-
S. RTRV (Mode qui ‘’reconstruit’’ les MP3, mais pas que…. Sur les chaines TNT SD il améliore assez bien la bande passante.) : On ou Off.
-
DNR : On ou OFF
(L’une des options sur laquelle je n’ai pas entendu de différence…).
-
DIALOGUE E. Amélioration des dialogues
(Sur le papier en tout cas… Comme pour le DNR, je n’ai rien senti de plus… La pièce ou le placement influent sur l’apport de cette option d’après une réponse de PIONEER.) : On ou Off.
-
ASCALE (Change la sonorité du DAC.) : Auto, Manuel
(J’ai opté pour Auto sur les films, Manuel SHARP ou SLOW sur la musique, suivant les styles écoutés.).
Avec les choix suivant en Manuel :
- 1 :
HI-BIT 32 On ou OFF
(On pour moi.).
- 2 :
UpSampling de X1 a X4
(X4 pour ma part.).
- 3 :
DFILTER : SHARP
(Plus acéré et ciselé.) ou SLOW
(Plus doux et enrobant.).
-
PQLS (Uniquement si vous avez un lecteur de la marque.) : On ou Off.
-
DUAL : CH1+CH2 ou CH1 ou CH2
(CH1+CH2 pour ma part.).
-
SIGSEL (Permet de choisir la nature du signal reçu. Ex : Numérique.).
-
FIXED PCM (Atténuateur de niveau PCM) : A n’utiliser que si votre source analogique est d’un fort gain en sortie.
-
DRC : Auto ou Off, max, mid.
(Je conseille de mettre sur Off pour ne pas entacher la dynamique.).
-
LFE : De -1 à -20 ou Off.
-
INPUT ATT : On ou Off
(Là encore, Off pour moi.).
-
A.DELAY : On ou OFF
(Toujours sur Off pour ma part.).
-
V.DEPTH : Off, Mini, Mid ou Max
(La aussi… Sur Off chez moi.).
Et voilà…. Le tour des options disponibles par télécommande, c’est fait
(Et comme dis plus haut, il y en a ‘’un peu’’ nan ?!).
Quelques photos des menus en passant par la touche HOME, c’est dans ces derniers que s’effectuent les réglages de bases, les prioritaires :

EDIT CR : Il y a possibilité de couper les canaux d’amplification interne du SC-LX58, avec plusieurs choix possibles en plus. Que j’ai oublié de prendre en photo… Désolé !!
Le MCACC et… ‘’Son apprentissage’’ (Prélude):
Pour un peu plus d’aération dans ce CR, pour plus de ‘’fluidité’’ après les parties précédentes, et… Vu qu’il y a ‘’un peu’’ à écrire, détailler, sur le MCACC, je vous propose de revenir sur cela en fin d’essai.

En préambule, je peux d’ores et déjà dire que poser le micro sur un petit trépied est une chose que je conseille vivement ! Le MCACC agit nettement mieux que campé directement sur le dessus du canapé.
Les écoutes :
Les enceintes couplées:
Un pack Q.A série 2000i, des TRIANGLE ESPRIT EZ et DYNAUDIO Excite X14
(Qui remplacèrent juste les enceintes avant.) câblées en JSV AUDIO ou SUPRA CLASSIC 2.0, VIARD AUDIO HD-Line.
Pour le reste des éléments :
Barrette OEHLBACH POWER SOCKET 905 sur secteur JSV AUDIO.
SONY BDP-S5100, TV LG, câbles optique et coaxial OEHLBACH.
DAC ASUS STU
(PC LENOVO.) sur logiciel J.RIVER, câble USB SUPRA et analogique JSV AUDIO.
Les albums choisis pour les écoutes:
Ne nous voilons pas la face, nous sommes devant un appareil ou quasiment tout a été conçu, pensé, et vendu pour les cinéphiles…
Alors comment pourrait-il être bon en stéréo diront les puristes du monde Hifiste ?? Je vais tâcher d’y répondre le plus objectivement possible.
Déjà, pour profiter au mieux des écoutes stéréo, je vous dirai de NE PAS vous mettre en PURE DIRECT, ce mode amoindri beaucoup trop le bas du spectre. Le mode DIRECT améliore déjà bien les choses, certes mais… J’ai obtenu les meilleurs résultats en écoutes 2.1, et AVEC l’EQ d’activée. Si si je vous l’assure !
Au delà des basses qui réapparaissent magiquement, la musique gagne aussi sur tous les autres plans. Aigu mordant mais moins sec, meilleur phrasé et impact du médium… Largeur, hauteur, profondeur, échos etc.. Tout est plus grand, plus gros et plus qualitatif. Incroyable, mais au combien vrai.
Si je n’ai pas fais d’écoute en 2.0 sur le SC-LX58, c’est pour une raison bien simple. Le MCACC stop son équalisation à la fréquence de 63HZ. Donc inutile de mettre les colonnes
(Ou biblio de bonne facture.) en large, puisque elles n’auront pas de corrections en dessous de 63HZ. Et comme, majoritairement, c’est le bas du spectre qui pose problème dans nos chères pièces a vivre… Autant coupler un caisson
(Encore plus si vous en avez un musical.) sous 80/70HZ et profiter des bienfaits du MCACC non ?!
Bon, ces petits points éclaircis, voila mes ressentis sur des styles musicaux ‘’Grand public’’, albums que beaucoup connaissent, qui ne s’apparentent pas à de la haute-fidélité. Il ne servirai pas a grand-chose de nourrir le SC-LX58 de grande masse orchestrale classique par exemple. Il ne serai pas dans son domaine de performance. Un intégré home-cinéma a tout de même pour but premier de…faire l’écoute de films, et ‘’accessoirement’’ permettre d’écouter de la musique.
Remis dans ce contexte, il s’en sort fort convenablement !
Sur les titres électro de Monsieur D.GUETTA, ou pop de M.FIVE il est on ne peu plus a l’aise. Ca pulse, ça impacte, ça envoie. Des morceaux vous invitent a monter le volume plus que d’autres, pas de souci, le PIONEER suivra la cadence, et il y plus que des probabilités pour que vous baissiez les armes avant lui. V de M.FIVE ne perd pas la voix
(très reconnaissable) de son interprète, même a volume soutenu, la stabilité vocale est de mise. Mais ne pensez pas pour autant que la scène bâtie soit restreinte ou pas assez projetée, vous n’avez pas d’inquiétude a avoir, les sons dépassent très bien le tour des enceintes qui œuvreront. Les aigus distillés ne fatiguent pas sur la durée, ce qui, encore une fois m’a surpris pour un classe D de chez ce fabricant.
Sur THE ACID et BRETONS, le SC-LX58 ne se laisse pas désarçonner, il parvient de justesse a recréer les ambiances particulières de ces albums
(J’avoue que l’apport du câble secteur et les DYNAUDIO X14 n’y sont pas étrangés.), mais de justesse ou pas… Il y arrive et c’est là le principal pour moi.
Les dynamiques sont justes, l’attaque plaisante, pas du niveau d’un intégré stéréo ou d’un appareil home-cinéma a plusieurs milliers d’euros certes, mais plus que suffisant et satisfaisant pour le marché ou se situe l’appareil de ce test. La bande passante retransmise ne souffre pas de manque notable, il y a une belle étendue sur le spectre sonore, baignée d’une énergie propre a la technologie employée.
ACDC ?? Sûrement l’album ou le PIONEER s’est éclaté et lâché plus que sur les autres. Le Rock, no soucy il adore, et moi, j’ai profité d’une retranscription tendue, hyper dynamique et limite live. Quand l’instrument est électrique, vous le saurez, tant il sait électriser le rendu cet intégré. Une petite mention pour la voix si reconnaissable du ‘’chanteur’’, elle fût d’une force, d’une puissante présence. Plaisant, très plaisant ! A noter, que cette fois, j’ai du baisser le volume car le ‘’petit’’ caisson du pack Q.A, me suppliait a coup de ‘’scrunch scrunch’’ de le laisser vivre encore un peu…. Aller, next album.
AU PAYS D’ALICE est l’un de mes CD coup de cœur 2014 ! Un enregistrement soigné + un mélange Jazz/Rap/masse instrumentale font de cet album une petite pépite. Cet album est clairement un passage piège pour le PIONEER, il demande une attention particulière pour sa mise en œuvre…. Verdict ?? Pour les bonnes nouvelles, les voix ressortent toujours intélégible et d’un phrasé bien articulé, suffisant en tout cas, pour ne pas perdre la compréhension des mots. La structure scène ressort bien en largeur, la hauteur mériterait un peu plus de verticalité mais…. Ca passe. Par contre, il manque de la profondeur, c’est indéniable. La réverbération et l’écho de quelques instruments n’y sont pas… Tout comme l’émotion qui passe au second plan, il se passe bien quelque chose, mais pas suffisamment pour ressentir ces choses justement. Alors entendons nous si vous le voulez bien, ce n’est pas médiocre non plus, loin de là, et sera même sûrement du plus convenable pour qui, s’ouvre, à écouter ce type d’album avec beaucoup d’instrumentation ! Le but n’était pas de ‘’descendre’’ l’appareil, mais que vous puissiez connaitre les limites audiophiles de celui-ci.
A mon humble avis, pour ceux qui regardent plus de films qu’ils n’écoutent de musique, OU pour ceux qui ne cherchent pas ‘’la petite bête’’, qui ne souhaitent que profiter de leur intégré Home-cinéma pour lancer des galettes musicales, le PIONEER SC-LX58 m’apparait comme recommandable.
D’autant plus qu’en passant par BLUETOOTH, il rend des services plus honorables que certains de ses concurrents directs. En effet, la liaison sans fil précitée est l’une des belles surprises de cet intégré. Je passe rapidement sur l’apérage facile et sans heurt avec un matériel IOS ou ANDROID, mais ferai plus des félicitations sur le fait que pour une rare fois, je n’ai eu aucune micro-coupure, zéro perte de signal à plusieurs mètres. Les MP3 passés entres les puces de traitements du S.RTRV ressortent revigorés et plus énergiques, ok c’est déjà ça… Mais, si vous possédez un abonnement QOBUZ, ou avez acheté des titres/albums chez eux, je vous invite grandement à télécharger la dernière mouture de leur application, la 3.0 pour être précis. Pourquoi donc ?? Et bien il est dorénavant possible d’avoir vos morceaux en FLAC sur l’appli, et ça, ça change beaucoup. Le plus beau c’est qu’en liaison sans fil, le rendu est tout de suite nettement meilleur et a cent lieux de son homologue en MP3
(Plus besoin du ‘’reconstructeur’’ S.RTRV au passage avec des FLAC.) !!
Bon, cette partie terminée, il est temps de m’affairer au terrain de prédilection du SC-LX58: Les films.
Pour les films :

Sans surprise, l’excellente classe D qui équipe le SC-LX58, sa capacité à tenir les enceintes à fort volume font mouche sur les blockbusters écoutés. Le rendu est physique, prenant, entrainant sans fatiguer l’auditeur avec une rugosité mal venue. PIONEER de mon avis, de mon souvenir, a vraiment bien amélioré sa signature sonore sur la classe D ! NEED FOR SPEED est du plus crédible sur les sonorités des bolides du film, ça sonne au plus près d’une vraie mécanique, et quand on sait que les ingénieurs ont travaillé d’arrache-pied pour ça, s’en est d’autant plus plaisant. Mais bon, en prendre pleins les oreilles et les mirettes sur les scènes mouvementées, c’est bien, mais le top, c’est de ne pas être déçu sur des passages plus calmes… Et bien cet intégré s’en sort fort bien, les échanges entres protagonistes sont audibles, tout comme les petits bruits, les petits détails de la bande son. Il sait fouiller la bande son, ce SC-LX58.
Il me le prouvera encore ensuite sur le puissant PACIFIC RIM. Ou les affrontements prirent une dimension dépassant largement ce que la taille de ma pièce laisserai présager. Le périmètre créé par l’intégré est non seulement sans trou entre les enceintes, c’est déjà ça, mais en plus il fait quelque chose de rarement ressenti… Cette ‘’bulle virtuelle’’ est plus large, plus haute qu’elle ne devrait, comme si un traitement secret donnait un ‘’effet casque’’. Vous savez, les deux petits écouteurs qui sonnent comme si vous étiez dans une salle grandeur nature. Et bah voilà, c’est pile l’impression eu avec le PIONEER.
Passé les jours de Blu-ray ‘’je te rentre dedans et j’aime ça !’’, je m’oriente sur NOS ETOILES CONTRAIRES et W.MITTY. Ces deux films biens plus ‘’humanisés’’, plus dirigés sur la partie verbale et musicale ne souffrent point de manque
(s). L’intelligibilité demeure bel et bien sur les échanges mélancolique du premier film, avec la belle performance de rendre ‘’palpable’’ certains plans qui demandent une attention sur la tension, sur la douleur de l’interprétation. Pas mal du tout je dois dire.
La BO de W.MITTY est comme vous le savez maintenant, l’une de mes préférées. Elle rend grâce aux décors
(Toujours aussi splendide, malgré le nombre de fois où j’ai vu/entendu ce film !), j’irai même jusqu’à dire qu’elle complète les images et les actions qui passent à l’écran. Si l’appareil donneur d’ordres ne sait discerner les étagements, les placements BO/Voix/Bruits, la beauté devant les yeux perd en force, en conviction… Rien de tel ici n’ayez crainte. Tout juste aurai-je apprécié un petit supplément de profondeur, mais bon, on reste sur une restitution de haut vol. Avec toujours cette impression de ‘’sur-grandeur’’ appréciable
(Et appréciée.).
Un petit retour en enfance avec l’un de mes films d’animations préféré, MONSTRES ET COMPAGNIE. Et bien que je n’aie prévu que deux chapitres précis pour évaluer le LX-58, le film complet y est passé… Quand le plaisir est là, moi je dis, il ne faut pas le bouder ! Concrètement, la petite voix fluette, fragile et enfantine de BOUH est bien mise en valeur, le coté rauque, mais enclin à la douceur, que demande SULLY n’échappe pas aux puces du SC-LX58 non plus. Encore un bon point de gagné pour l’intégré.
Je passe rapidement sur la scène des portes, ou l’immersion est totale, ça virevolte d’une enceinte à une autre dans une superbe cohésion. Pleins de détails viennent encore renforcer la scène. Top de top je vous dis. Petite mention sur les enceintes arrières, qui étaient à la fête et s’en donnaient à cœur joie lorsqu’il le fallait.
Un sans faute ?? Presque….. Mais la faute incombe au caisson du pack Q.A Série 2000i… Il talonnait sur bien des effets pyrotechniques, ou encore sur des chocs ‘’des gentilles bêtes/grand truc de métal’’ de PACIFIC RIM, dommage que je n’ai pas eu un caisson plus ‘’costaud’’ sous la main…
Des aigus filants mais pas grinçants, des médiums intelligibles et d’une présence suffisante pour ne pas perdre en phrasé, des basses tendues et rapides sur les enceintes, un canal LFE sur-vitaminé. Un périmètre précis et au combien bien rempli. Voilà comment je décrirais, en quelques mots, le rendu du PIONEER en séance cinéphile.
Un détail qui m’a étonné et je passe aux conclusions…. Le niveau auquel il faut monter le volume est surprenant pour un appareil en classe D, en dessous -45/-42 sur la plage de réglage, il ne se passe pas grand-chose. PIONEER a pour moi, ‘’loupé’’ l’étalonnage du potentiomètre, car en passant de -30 à -25, le niveau est complètement autre, alors qu’entre -50 et 40 le son monte doucement, sans vous brusquer. Il va dans le sens du poil jusqu’à un moment précis où il va décoiffer. Ce qui pourrait donner l’impression à certains qu’il manque de dynamique, de puissance même, mais QUE NENNI. Il lui faut juste aller à son niveau de croisière si je puis l’écrire ainsi. Pour aller au bout de ce détail, il m’a été impossible de dépasser -5 dans ma pièce
(Avec les TRIANGLE EZ en frontales, au lieu des 2020I.), car d’un je devenais sourd, et de deux, mes voisins m’auraient attendus avec des fourches !
Le MCACC et ‘’son apprentissage’’ donc:
Voici le moment de vous parler, vous aiguiller autant que je peux sur le MCACC et la manière d’approcher, d’appréhender ‘’la chose’’.

En premier lieu, quelques lignes sur le MCACCC et les choix, volontaires de PIONEER le concernant. Il m’a fallu ‘’un certain’’ temps pour comprendre le MCACC et ‘’le pourquoi’’ des choix disponibles, qui dans un premier temps, me sont apparus comme ‘’restreints’’ par rapport à des appareils concurrents… Donc, j’ai creusé, pris des renseignements directement chez le fabricant, chez un commercial Belge dont j’ai fait la connaissance lors d’un salon, chez des revendeurs ou intégrateurs… Je me suis bien renseigné quoi ! Et voilà ce qui est ressortit de ces investigations :
Les PIONEER
(et encore plus la série ÉLITE.) sont pensés au maximum pour les cinéphiles exigeants, en demande d’une EQ typée cinéma, d’options à foison… Et force est de constater qu’ils en auront pour leur argent !
L’une des choses sur laquelle je me suis beaucoup questionné, ce sont les fréquences d’action du MCACC, plus précisément la plus basse ou il agit, 63HZ pour rappel… Fréquence pas énormément basse quand on sait que c’est précisément entre 80HZ et 20HZ que les basses deviennent compliquées à gérer dans nos pièces. Ce choix m’interpella encore plus pour des écoutes en stéréo, enceintes avant validées en large
(Sans adjonction d’un caisson donc). Les choix de fréquences de coupures des enceintes (
Une pour toutes les enceintes d’ailleurs, même les SC-LX78 et SC-LX88 n’ont qu’une coupure globale.) n’ont pas autant de possibilités que d’autres intégrés Home-cinéma non plus…
Mais une fois les bonnes réponses, les informations en ma possession, tout devient bien plus clair !
Il y a quelques années, PIONEER arborait fièrement le logo THX
(Avec plusieurs normes suivant ‘’le grade’’ des appareils.), qu’il a ‘’abandonné’’ par la suite. L’histoire pourrait s’arrêter là, mais non, car malgré le fait qu’il n’y ai plus cette licence, le MCACC tourne son action ‘’comme s’il était’’ un intégré sous la cape du THX.
Vous constaterez que par défaut, la fréquence de coupure sera toujours à 80HZ. Ce qui rappelle bien une des normes THX. Donc,
(Dans l’idée) à quoi bon corriger, agir sur ‘’ce qui se passe’’ sous 63HZ, puisque de toute façon, le SC-LX58 imposera la coupure de 80HZ sur toute les enceintes ?? Autant s’affairer a bien faire les choses du haut du spectre, jusqu’à ces 63HZ, de toute façon, rien n’ira aux enceintes en dessous. Ceci explique cela, et
(Me) conforte vers l’orientation cinéma du dit appareil de cet essai.
C’est également par apport à ces choix d’actions, que le SC-LX58 excelle en séance cinéphile, ou sur des concerts en multicanaux, plus que sur les écoutes purement musicales. Le rendu est d’ailleurs vraiment meilleur en 2.1 avec EQ en fonction, sur de la musique, ce qui, du coup est ‘’moins surprenant’’… Vous garderez ainsi les bienfaits du MCACC.
Les puristes resteront sûrement sur leur faim, mais avec le recul de ce test, je ne pense pas qu’ils soient la clientèle visée, ou alors, en couplant un intégré stéréo
(Avec Bypass.) au PIONEER pour améliorer la stéréo au sens propre
(Ce qui me semble plutôt cohérent pour avoir un peu le meilleur des deux mondes.).
Bon, et si je passais aux menus et sur comment améliorer ce fameux MCACC ?? Aller, c’est parti :
Annotation : Comme écrit au début de ce CR, je vous invite fortement à poser le micro fourni sur un petit trépied de photo !! Le dit micro n’appréciant pas d’être disposé à même le canapé. Cela fait, vous n’avez plus qu’à brancher l’embout dans l’orifice dédié sur l’avant de l’appareil.

Le mode ‘’ENTIEREMENT AUTO’’ n’est pas celui que j’aurai pensé… Pour moi, c’était ici que le PIONEER allait me proposer de faire les trois courbes d’EQ dont il est capable : SYMETTRY – ALL ADJ – FRONT ALIGN. Et bien non, là, vous choisirez le mode désiré dans les trois disponibles, la mémoire dans laquelle enregistrer le travail effectué. Je vous conseille donc dans un premier temps, de passer par le mode ‘’AUTOMATIQUE’’.

Voilà, on y est, maintenant, silence dans la pièce, et lancez le MCACC. Bien, une fois les trois types d’EQ effectuées et enregistrées, revenir au mode ‘’ENTIÈREMENT AUTO’’.

Pour avoir testé les trois modes, je vous conseillerai de partir sur la ‘’ALL ADJ’’, plus précis et poussé sur chacune des enceintes. Choisissez la mémoire ou enregistrez
(Je conseille de garder la même que celle ou a enregistré le mode ‘’AUTO’’, pour ne pas vous trompez par la suite.) et lancer la procédure. Bien, et maintenant…. Nous allons bonifier ce qu’a fait le MCACC tout seul sur une position, pour cela, rendez-vous sur le mode ‘’MANUEL’’.

Une fois dedans, descendre en bas sur la ligne ‘’RÉGLAGES PRO FREQ.’’ Puis dans ce sous menu, aller sur la dernière ligne ‘’CONFIG AVANCÉE FREQ’’.
Les autres menus vous seront utiles SI vous disposez de logiciels spécifiques
(Bruit rose ou blanc…) et d’un sonomètre externe
(Entres autres…). Ainsi pourvu, vous pourrez aller encore plus loin, pas par pas, fréquence par fréquence dans les réglages. Mais il faut commencer à toucher dans le domaine pour ‘’jouer’’ avec toutes ces options.

Bon, revenons à notre mode manuel, sans autre besoin que le micro fourni.

Ici, choisir de nouveau là ou sauvegarder l’EQ. Puis le type d’EQ, ‘’ALL ADJ’’ pour ma part, comme déjà écris. Et enfin ‘’STAND WAVE MULTI-P’’ sur oui. A partir de ce moment, le MCACC travail non plus sur une, mais sur trois positions. L’OSD indique ou placer le micro, la dernière mesure étant la position d’écoute. Il n’y a plus qu’à aller vérifier les réglages.

Pour conclure, une option qui pourrait vous rendre un grand service, suivant la pièce et/ou les enceintes en œuvres : Le réglage du ‘’X-CURVE’’ :

Voilà mesdames, messieurs, en espérant que ces photos et textes vous aurons aidé, et faciliterons vos calibrations futures.
Bilan de ce test :
J’ai aimé :
- Clairement, la signature bien plus douce sur la classe D !
- La possibilité de moduler l’amplification interne.
- L’apport en bi-amplification sur des colonnes un peu gourmandes
(TRIANGLE ANTAL EZ complétement différentes en bi-amp.).
- La tenue d’enceinte à faible rendement
(Les DYNAUDIO X14 dans le cadre de cet essai.).
- Le MCACC une fois compris et passé en mode MANUEL.
- Le MCACC sur la gestion/EQ du OU DES caissons de basses
(Vraiment très bon !).
- Le discernement et le fouillé dont il fait preuve sur les bandes sons.
-
(N’en déplaise à certains…) Les écoutes musicales, grand public, en 2.1 AVEC EQ.
- Les écoutes sans fil par BLUETOOTH.
(Agréables et assez bonnes, qui passent à très bonnes par la dernière application QOBUZ 3.0).
- Les écoutes par l’entrée USB en façade
(FLAC HD lus.).
- Les écoutes en réseau.
- La manière dont il pousse virtuellement les murs, donnant artificiellement une pièce plus grande.
- Le scaler, du plus probant
(Non testé en 4K pour rappel.).
- La gestion de l’ATMOS depuis la MAJ.
- La finition, la qualité d’assemblage dans sa généralité.
- La télécommande rétroéclairée.
- L’application IOS ou ANDROID juste géniale.
J’aurais aimé :
- Un MCACC moins complexe dans ses menus et son appréhension.
- Pas de re-numérisation des entrées analogiques
(Ou au moins désactivables.).
- Un bas du spectre plus présent en PURE DIRECT.
- Un peu d’émotion supplémentaire, un peu plus de ‘’diversité vocale’’ sur la stéréo.
- Des réglages plus simples, ou peut-être seulement mieux dénommés/placés…
- Moins de réglages qui n’apportent rien de concret… Mais ça, PIONEER est loin d’être le seul !
- Une gestion du volume plus axée et efficace en début de plage.
- Un rond central plus souple sur la télécommande.
- Une entrée USB, même cantonnée au 24/96Hz.
- Une entrée multicanaux.
Quelques conseils ??
- Je ne saurais trop conseiller de joindre un bon câble secteur à votre intégré PIONEER,ce fut d’ailleurs l’appareil qui m’est apparu comme l’un des plus marqué, par un changement de câble secteur. Bien plus qu’un matériel en classe A/B
(La technologie classe D serait-elle plus ‘’sensible’’??) de même gamme tarifaire.
- Dans le même esprit qu’au-dessus, une barrette secteur de qualité, non filtrée de préférence, pour ne pas jouer ‘’le bouchon’’.
- Un petit ¼ d’heure de chauffe et vous pouvez profiter pleinement de votre intégré.
Voilà qui finalise ce retour d’impression du milieu de gamme PIONEER 2014-2015.
Je vous souhaite de longues heures de plaisir musical accompagné de ce SC-LX58.
Un grand merci a Jonathan de PASSION HOME CINÉMA pour le prêt de matériel. A Nicolas, pour permettre cet essai sur notre forum.
Ludo, Février 2015.
Je regarde, j'écoute, je goûte, je touche, je sens.