RETOUR SUR ESSAI DE L’INTÉGRÉ STÉRÉO BC EX332D :
Le 332D en couleur noir :
http://www.hdfever.fr/2014/01/18/bc-acoustique-ex332d/
http://www.bc-acoustique.com/NOUVEAUTES ... e.tpl.html
Puissance de 2x120W ou 1x380W sous 8Ω et 2x200W sous 4Ω
Entrées et Sortie XLR
Qualité de fabrication
Composants high-end (Transistors Toshiba 2SC5200/2SA1943)
DAC Cirrus Logic CS8416
Convertisseur Burr Brown PCM1793 (48kHz/24bits)
Qualité Alimentation
Transformateur imprégné de 700 VA
Batterie de condensateurs (plus performants qu’un seul gros)
Résistances de forte puissance (1/2 et 1W)
Préamplificateur polarisé en classe A
Entrées Coaxiale et Optique
Blindage
Potentiomètre de volume ALPS
Commutation des entrées par relais
Possibilité d’ajout de cartes optionnelles : Phono (MM/MC), DAC (24/192), Réseau…
Section amplificateur
Puissance moyenne continue sous 8Ω : 2x120W ou 1x400W
Puissance moyenne continue sous 4Ω : 2x200W
Distorsion : 0,05% (20 Hz - 20 kHz)
Rapport signal/bruit : 95 dB (1W)
Bande Passante : 10Hz-30 kHz (0.5 dB)
Section pré-amplification
Niveaux entrée ligne XLR (LINE 1)
Sensibilité : 600 mV / Impédance : 47 kOhms
Niveaux entrées lignes RCA (LINE 2, LINE 3)
Sensibilité : 600 mV / Impédance : 47 kOhms
Corrections
Grave (± 5 dB à 100 Hz)
Aigu (± 5 dB à 10 kHz)
Matériels couplés:
- Enceintes MA SILVER 8, PARADIGM MONITOR 9 V7, DALI ZENSOR 7.
- DAC ASUS STU
(Modifié AOP MUSE 1).
- Lecteur Blu-Ray Sony BDP-S790.
- Pc en USB No name (Foobar 2000) puis ATLAS USB.
- Lecteur CD ROSKAN CD2.
- Câbles:
SUPRA LORAD, PLY3.4/S.
ATLAS EQUATOR MKII, coaxial ELEMENT, EQUATOR 2.0 Bi-wire.
JSV AUDIO secteur, enceintes et analogique.
Mes couples préférés en écoutes musicales:
1: BC EX-332D, MONITOR AUDIO SILVER 8, lecteur CD ROKSAN, câbles JSV partout.
2: BC EX-332D, PARADIGM MONITOR 9 V7, lecteur CD ROKSAN, câbles ATLAS en analogique-enceinte bi-wire, SUPRA en secteur.
Mes couples préférés sur les films et TV:
1: BC EX-332D, MONITOR AUDIO SILVER 8, DAC ASUS STU, câbles ATLAS en analogique, coaxial, enceinte bi-wire, SUPRA en secteur-optique.
2: BC EX-332D, PARADIGM MONITOR 9 V7, DAC ASUS STU, câbles ATLAS analogique et coaxial, SUPRA en secteur,optique et enceintes.
Mise en œuvre et rodage :
- Pas de rodage effectué, cet appareil ayant déjà été utilisé pour des essais presse.
- Mesure de la phase pour le sens de branchement sur multiprise Schuko.
( Pas d’écart dans un sens ou dans l’autre, vous pouvez donc le brancher dans le sens normal.)
ASPECT ET FABRICATION:
Encore une fois, bien assemblé, il n’y a pas de jour sur les différentes jonctions de tôles.
La peinture est uniforme, d'aspect satiné.
Le capot supérieur est plus épais que sur les autres modèles testés venant de chez BC.
La face avant en aluminium, épaisse et droite dorénavant, donne un visuel sobre et classieux.
Le nouveau logo chromé, est apposé sur cette face avant de dernière génération.
- L’interrupteur de coupure générale se retrouve sous l’appareil, comme sur l'EX322.
(Pratique si vous avez des enfants je trouve.).
- Les touches implantées en face avant sont à pression.
Éclairées par des petites LED, LED a couleur double pour certaines, indiquant "l’option" choisie.
(Exemple : optique ou coaxial de l’entrée DAC).
- Les correcteurs grave/aigu ressortent par pressions.
Faire attention à ce qu'ils ne bougent pas en les repositionnant, une fois vos réglages effectués.
- Le contrôle de volume en position centrale,
(motorisé ALPS) permet un réglage précis que la télécommande.
Cette dernière me donnant l’impression de monter ou baisser plus fortement que sur les autres intégrés testés dans la série EX.
- Bornier enceintes de bonnes qualités, acceptant une grosse section de câble enceinte nu.
Fourches ou bananes acceptées sans problème bien entendu.
- Une sérigraphie vous iindique la marche à suivre pour le branchement bridgé.
- Connecteurs du panneau arrière solidement ancrés, sans jeu constaté.
- Un jeu d'entrée, et un de sortie XLR sont également présents.
- L’entrée optique recevant un petit capuchon sur cet appareil.
- Les fiches RCA sont suffisamment espacées
(l’une de l’autre et entre elles.) pour recevoir des câbles analogiques
avec de ‘’grosses terminaisons’’ sans qu’elles se touchent.
L'une d'elle se comportant en Bypass par simple changement de position du switch.
- Une fente "Option" est présente, pour adjoindre plusieurs types d'options prochainement.
Petit détail appréciable, l’intégré est conditionné dans un double carton.
Toujours plus sécurisant pour le transport.
Lors du déballage vous pourrez constater que les mousses de protections sont bien épaisses, protégeant très bien l’EX332D.
Une nouveauté appréciable elle aussi, deux découpes sur la mousse du fond.
Découpes ou la télécommande et le câble secteur prennent places.
Et voici la télécommande fournie.
Petite certes, mais bonne appréhension une fois en main.
Peu directive, réactive.
ARCHITECTURE INTÉRIEURE:
BC a doté son nouvel intégré, fer de lance de la gamme, d'une alimentation fortement dimensionnée.
Un énorme transformateur EI
(blindé et imprégné!) d'une valeur de ..... 700Va!!
Cette impressionnante alimentation est couplée à une rangée de condensateurs totalisant 60.000Uf.
Là aussi BC prouve que l'alimentation musclée mais accessible, est une voie de prédilection pour eux.
Un double push-pull parallèle de transistors bipolaires-complémentaires, Toshiba 2SC5200 / 2SA1943 d'une capacité de 15A chacun sont implantés au sein du 332D.
Cartes de gain équipées de condensateurs hautes performances M-Cap.
Voilà qui conclu cette présentation interne à mon niveau.
A savoir que le EX332D travaille en classe A jusqu’à 5 watts puis en classe AB par la suite.
Son facteur d’amortissement de 150, lui permet de piloter un grand nombre d’enceintes.
Même celles avec une courbe d’impédance ''mouvementée''.
Je me permets de signaler que l’implantation de la câblerie interne à fait l'objet d'une belle attention.
C'est bien rangé, séparé, tenu par serflex parfois même.
Bravo pour l’attention!
Avant de commencer:
Par le passé, j’ai déjà eu le plaisir d’avoir des intégrés stéréo de chez BC en tests.
Les EX-302, EX-322 ou EX222 dernièrement.
Appareils sortant du lot par leurs performances générales.
Clairement au-dessus de ce que laisserait imaginer leur positionnement tarifaire.
C'est donc avec joie que j'attendais celui du 332D, assez confiant quant au résultat sonore je dois l'avouer.
Ce nouvel étalon du catalogue BC contient des gênes nouveaux, différents pour certains, des autres modèles du fabricant :
- Pré amplification polarisé.
- Premiers watts en classe A.
- DAC interne
(48kHz/24bits) sélectionnable suivant ce que vous lui relier.
- Le fait de pouvoir bridger l'appareil en mono, pour le coupler sur un bloc, est assurément une excellente idée.
- Nouvelle face avant au design droit.
Avec son petit frère l'EX322D, ils démarrent donc cette nouvelle signature visuelle.
AMBIANCES ET CHOIX D’ÉCOUTES :
Musiques et films:
Une nouvelle fois, j’ai volontairement choisi un panel assez Largement opposé sur les styles musicaux.
Cela pour bien cerner-tester l’EX-332D sur son universalité.
Pour moi, un appareil se doit d’être le plus ''à l'aise'' possible, sur tous types d'écoutes.
Fichiers QOBUZ-CD écoutés :
Majoritairement, il y en a eu d'autres suivant les besoins, les envies...
Blu-Ray visionnés:
Télé :
- Chaines de musiques.
- JT
(Très bien pour cerner les voies, souvent haute-perchées et facilement acide des présentatrices.).
- Série, film et émissions.
MA SYNTHÈSE SONORE :
Une faculté fortement intéressante sur l’EX332D, c’est celle de s’effacer.
Hors raccordement sur son DAC interne.
Il ne cherche pas à imposer une signature sonore qui lui serait propre.
Il laisse ressortir le signal au plus proche de celui reçu.
C’est un bon point car cela permet d’entendre réellement le son des matériels, des câbles couplés en amont comme en aval.
Son boulot a lui, c’est de donner du courant, de transmettre le signal, et ça il le fait comme un chef !
Bon, il est temps d'en venir aux ressentis d'écoutes à proprement parler non??
Après une trentaine de minutes de chauffe, l’EX332D est fin prêt, paré à la restitution du message sonore.
Connaissant plusieurs appareils du constructeur, je me pensais en terrain connu, première erreur!
L’EX222 m’ayant déjà fortement impressionné sur sa tenue en courant, je me pensais aussi en terrain connu, seconde erreur.
Ok, je dois me rendre à l’évidence, l’EX332D est à part dans la gamme du constructeur !
Cet appareil place la barre de la performance très haute, pour 999.00€ je n’en attendais pas tant.
Là, on tombe sur un autre monde, celui de la haute-fidélité, dans le sens noble de l’appellation.
Avec les SILVER 8, il est des matériels qui permet d’accéder, de s’aventurer sur cette voie sereinement.
L’autre surprise vient de son aisance sur quasiment tout ce que je lui ai donné à retranscrire.
Là où ses petits frères manquaient un brin d’émotion ou de réalisme, peu critiquable part leurs positionnements de gamme en même temps...
L’EX322D fait mouche, carton plein sur presque tous les critères, une fois trouvé les partenaires idéaux bien entendu.
Une énergie, une puissance jamais prise en défaut lors des essais en font un intégré très capable sur de belles colonnes.
A ce titre, c’est avec lui que les SILVER 8 m’ont littéralement scotché.
Frissons, poils aux gardes à vous, yeux qui pétillent…. LA claque quoi !
Un détail cependant, une première pour moi sur des intégrés EX-xxx.
Je n’adhère pas trop au rendu en mode direct…. Il projette trop les sons, donnant un aigu trop mordant, trop rêche.
Les essais furent donc sans mode direct enclenché !
Rarement j’ai eu autant de plaisir sur des morceaux de SCORPIONS, ACDC, LED ZEP’ ou PINK FLOYD .
(Groupes ou il faut des watts, du volume vous en conviendrez ^^)
Encore plus rarement, autant de facilité à ouvrir le volume sans que l’alimentation s’effondre.
C’est simple, c’est moi qui ai lâché prise avant les matériels en œuvres.
Le volume sonore, la pression, les décibels passé un certain volume
(loin de perturber ni l’intégré, ni les enceintes !) eurent raison de moi.
J’ai dû baisser le volume, presque à regret….
Une fois passé les écoutes ''rentre dedans’', constaté que ses poumons ne s’essoufflent pas
(et votre serviteur bien détendu.), je passe serein a des registres plus "musicaux’’.
Si un appareil ne plie pas l’échine sur du rock, vous aurez peu de chance qu’il ne s’écroule sur d’autres genres de musique...
Les voix d’artistes comme messieurs CABREL et LAVILLIERS sont rendus avec tout le poids et la tension nécessaires.
Le mal être, la rancœur de LAVILLIERS sur certains morceaux de son dernier album, sont palpables.
Sur M.JACKSON, certaines pistes ressortent avec le sens du rythme, puissantes arrosées d'un zest de live.
Alors que d’autres moins enjouées, gagnes en émotion, en mélodie.
Y.BIBB, ADELE ou BIRDY??
Des voix féminines reconnaissables entre mille, et bien rien ne manque aux si belles voix de ces dames, c'est la plus qu'un compliment.
Comment ça??
Et bien il est plus facile de trouver des intégrés ne rendant grâce, réalisme des timbres de ces chanteuses que l'inverse.
Oh il est bien sur possible d'avoir mieux, on le peut toujours.... Mais c'est plus cher mes amis.
C'est donc bien une belle performance du 332D.
Je pourrais encore en écrire sur le rendu des voix, mais il est peut-être temps de parler des instruments non??
La partition instrumentale de T.DUTRONC, la masse instrumentale de H.HANCOCK
(aux effets virevoltants incroyables.), ou l’orchestre sur opéra et classique...
Deux points communs à ces écoutes: Ampleur et détail.
Les instruments sortent à taille réelle.
Avec discernement sur le poids de notes, sur les glissements de cordes, sur la pression d'un clavier...
Belle sonorité des cuivres, des cymbales, mention spécial au triangle.
Qui non seulement sonne vrai, avec les vibrations audibles.
Les peaux?? Et bien par exemple, le moment ou le contact peau/main se fait, ça s'entend autant que ça se ressent, c'est tout dire.
Il est donc plaisant de constater que l'EX332D sait non seulement retranscrire les voix au plus près de la réalité, mais également tout type d'instrument.
Mieux encore, l'un ne se perdant pas dans l'autre, j'entends par là que tout n'est pas simplement une masse sortant du coffre des enceintes.
Non, toute chose, toute voix, chaque instrument est discernable, identifiable en sonorité comme dans l'espace construit.
Une grande aisance, une grande restitution musicale? Assurément.
Un intégré sur lequel vous pourrez compter sur chaque moment passé en sa compagnie.
Pour les écoutes de votre TV, l'EX332D suivra sans lacune particulière, moins à l'aise sur des chaines SD cependant.
En prenant soin de choisir des câbles doux, voir descendant, le résultat sera plus ''détendu'', évitant les sifflantes au maximum.
Je n'ai cependant pas regardé/écouté beaucoup la TV lors des essais..... J'écoutais bien plus de musiques!
Pour finir mes impressions, passons aux quelques films visionnés sur ce matériel.
Sans commune mesure avec ceux de la TV.
Comme je l'ai dit, un signal de qualité est nécessaire pour que l'EX332D s'exprime pleinement.
Tout comme en musique, les deux marques d'enceintes mises en œuvres, s'en sortent royalement a ce jeu-là.
PACIFIC RIM est énormément plus physique, plus dynamique que ce que j'en ai entendu dernièrement.
Énormément de présence et de poids sur la voix de l'acteur principal.
Des basses incroyables sans aide d'un caisson, juste royal.
Mais n'ayez craintes, sur les passages les plus chargés, les plus apocalyptiques, il ne perd jamais pied!
Pas mieux pour le dernier FAST.
Plongée au milieu de l'action, bonne compréhension des dialogues, BO non noyé dans l'action, RAS messieurs dames.
Encore une fois, l'alimentation du BC joue un rôle déterminant selon moi.
Les registres??
* Le bas du spectre:
Les basses sont tenues comme jamais sur les SILVER 8.
Une descente dans le bas très probant.
Les octaves les plus basses dont sont capables les enceintes se ressentent parfaitement.
S’entendent clairement sur les différentes lignes de basses.
Le débattement des membranes m’a surpris sur les premières écoutes a volume "soutenu".
Les boomers sortaient de plusieurs millimètres, mais étaient tenus d’une poigne de fer.
Sur les MONITOR 9, le haut grave est plus physique que sur les Anglaises.
Moins de descente, moins de nappes chatouillant le pantalon, mais plus de sensations qui tapent au plexus.
C’est également avec le BC que j’ai obtenu les plus belles prouesses des PARADIGM.
Les basses ne s’emmêlent jamais les octaves.
Toujours précises, d’une lisibilité hors pair pour le prix demandé.
Le mieux dans tout cela, c’est qu’en plus, le bas du spectre se propage avec cohérence.
Sur l’une comme sur l’autre des marques d’enceintes.
* Le médium:
Partie sur laquelle je suis très sensible comme vous le savez maintenant.
Le médium est assez nettement démarqué de celui entendu sur les autres intégrés testés venant de chez BC.
Plus neutre, le phrasé et l’articulation grimpent aussi quelques crans en qualité.
Il m’apparait aussi plus rapide que d'accoutumée.
Tout juste noterais-je un petit manque sur le haut médium avec le DAC ASUS STU.
Rien de bien méchant, mais cela donne un petit manque de sensualité occasionnelle… trop neutre, serait plus adapté en terme.
En passant sur une source comme le ROKSAN KANDY CD2, doux et légèrement coloré sur le médium, le tir est rectifié.
Donnant même une pointe de sonorité analogique.
* L’aigu:
Aigu première classe
(Sans le mode direct pour moi.), filant au sommet des hautes sphères.
Ciselé rarement rencontré dans cette gamme de prix, luminosité et effet holographique prononcés.
Flirtant les limites de l’excès, sans y sombrer.
Donnant une sensation de vie aux bonnes prises de son.
D’ailleurs pour moi, cette limite est dépassée avec le mode direct.
Lorsqu’il est enclenché l’aigu devient trop mordant, trop sec et projeté.
La signature devenant "numérique" si je puis dire
(Certains aimeront certainement cela cependant.)…..
La spatialisation, l'étagement...
Spatialisation large et haute à souhait.
Plus haute encore sur les SILVER 8, point centrale plus précis sur les MONITOR 9.
Largeur quasiment identique sur l'une comme sur l'autre paire d'enceintes.
Profondeur plus prononcée sur les SILVER 8.
La MONITOR 9 rayonne plus pour sa part.
Étagement bien construit, la scène bâtit pour l'auditeur permet des placements précis, ne débordant pas les uns sur les autres.
Les échos ne sont pas oubliés, les résonances non plus, ce qui est une bonne chose.
L'attaque, la dynamique...
L'attaque des notes, celle des basses, sont excellentes, toujours le positionnement tarifaire dans le contexte.
Pas de trainage sur une grosse caisse ou sur une peau.
L'extinction des cuivres, des percussions par exemple, sont suffisamment franches et longues.
Les cordes ont de l'attaque sur le pincement, belle dynamique sur la longueur de note.
La dynamique ne fait pas défaut, les écarts, les pics sont biens tenues.
Les dynamiques sur les voix tiennent la dragée haute.
J’AI AIME :
- La qualité de fabrication, d’assemblage.
- Les sérigraphies arrières, pour le bridge ou mise en route du Bypass par exemple.
- Les connecteurs biens ancrés au châssis.
- La tenue en puissance, en courant.
- Les montées dynamiques, les attaques jouissives sur des titres qui le demandent.
- Sa maitrise des silences.
- Un beau foot tapping, un sens rythmique plus poussé que sur ses petits frères.
- La maitrise du grave, même sur des enceintes avec une impédance torturée.
*Sans mode direct*
- Le médium bien articulé, sans coloration.
- L’aigu du plus précis, lumineux, ne laissant rien dans l’ombre.
D’une neutralité exemplaire pour le prix.
- Son âme audiophile au cœur mélomane qui permet un rendu de haute volée sur beaucoup de styles musicaux.
- Adjoindre plusieurs appareils en numérique sur l'entrée DAC.
Avec sélection du signal entrant.
- La possibilité de pouvoir ponté les étages de puissance, en vue de coupler le bloc bridgeable également.
(Unique sur un intégré à ma connaissance..)
- La température de l'appareil qui ne chauffe pas autant que je le pensai, vu ses ''entrailles''.
J’AURAI AIME :
- Un mode direct moins projeté, moins mordant.
- Moins de perte d'émotion avec le mode direct.
- Une prise USB
(Même de qualité cd).
- Une télécommande aux montées-descentes de volume mieux étagés
(Je chipote un peu….).
Mes conseils??:
- Un câble secteur de qualité, de bonne section, amènera un plus non négligeable au 332D.
Plus marqué que sur certains autres appareils.
Surement son alimentation démesurée qui apprécie cela
(Un SUPRA fait très bien l'affaire pour info.).
- Une source détaillée, douce, avec une bande passante le plus large possible, amènera l'intégré a un niveau bluffant vu son prix.
Le ROKSAN KANDY CD2 en est l'exemple parfait.
- Préférez la liaison coaxiale sur l'entrée numérique, si votre appareil le permet, je la trouve un peu plus spatialisée.
Un remerciement à Monsieur Bruno Roux pour le prêt d'appareil, ainsi qu'à Nicolas pour permettre cet essai forum.
Par: Firstclass91
