julien wrote:Super , toute c est info précise merci Hiperia ,mais pour un salon c est pas mieux un caisson clos que avec evant (basse reflex) si je ne me trompe , est quelle est la différence entre un sub avec le sub en façade et le sub en dessous de la caisse ?
Est le BK Monolith Plus est mieux que le sunfire HRS 12 et que le SVS PB 1000 alors car la finition acajou est magnifiques chez BK .
Je me dit déjà le BK XXLS400 est déjà une belle bête, mais la le BK Monolith Plus 47 kg 8) c est vraiment une bête je doit regarder si je sais le passer entre la colonne et le meuble :/, mais quand on veut on peut
Et l alimentations c est quoi la différence entre une classe A/B est les caisson classe D ? :gne:
En fait je vient d un klipsch sw-112 .
Que de questions :rofl:
Il n'y à pas vraiment de meilleur caisson, la qualité dépendra des différents élément qui le compose.
Avec la fréquence de coupure qu'on applique sur nos caisson de basse ( 80/120 Hz ), le fait que le haut parleur soit visible ( face à nous ) ou alors caché ( sous le caisson )
N'importe peu, en effet il faudrait que le caisson puisse monté plus haut en fréquence (300/400Hz) pour avoir des problèmes de directivité.
Le BK monolith + sera meilleur qu'un SVS PB1000 c'est certain, après je ne connais pas le HRS12.
Je sais par contre que le HRS avait été testé en même temps qu'un Velodyne SPL1200 et qu'il est un cran en dessous.
Un BK XXLS 400 fait presque jeux égal avec un SPL1200.
Donc je placerai le monolith en tête sans soucis.
Le monolith n'est pas petit, c'est une vrai table basse :biglol:
Je me permet de prendre une explication trouvé sur un autre forum pour les différentes classe d'amplification :
"Classe A : Chaque transistor (ou tube) fonctionne 100 % du temps et traite 100 % du signal. L'absence de commutation entre les alternances positives et négatives évite la distorsion harmonique associée. Le faible rendement de cette topologie la réserve à des étages de puissances modérées.
Classe B : Le circuit classe B utilise au minimum 2 transistors en « push-pull » symétrique : Un composant traite l'alternance positive, l'autre l'alternance négative du signal. Le rendement est meilleur qu'en classe A. La non-linéarité du fonctionnement au passage de l'alternance positive vers l'alternance négative introduit une distorsion harmonique plus importante.
Classe AB : fonctionne comme un Classe A à faible puissance (augmentation du temps de conduction des transistors) et bascule sur le fonctionnement de Classe B à des puissances plus élevées. Cela permet une absence de distorsion lorsque le signal est faible. Lorsque le signal est important la distorsion est présente mais masquée par l’amplitude du signal, en conservant l’avantage du rendement. C’est une classe très courante en hi-fi et en sonorisation.
Classe D : utilisé surtout lorsque les éléments actifs de puissance fonctionnent en régime bloqué ou saturé, son principe de fonctionnement est différent : les composants actifs de puissance génèrent un signal rectangulaire de fréquence élevée par rapport au signal d’entrée et dont le rapport cyclique est proportionnel au signal à amplifier (modulation de largeur d'impulsion). En fait, l'ampli classe D fonctionne un peu comme un hacheur, en tout ou rien. La valeur de sortie possède donc soit la valeur maximum, soit 0V. La puissance moyenne représente le signal audio. Il suffit de mettre un filtre passif passe-bas pour enlever les hautes fréquences. Le problème est que la commutation, pour être inaudible, doit se faire au-dessus de 20 kHz. Certains constructeurs ont développé des adaptations propriétaires dérivées de la classe D, notamment la classe T de la société Tripath ou la classe TD de Lab. Gruppen...
L’efficacité de la classe D est supérieure à la classe A, B, et AB. C’est un candidat idéal pour les applications nomades ou de fortes puissances, par exemple les autoradios ou la sonorisation"
Moi personnellement je préfère pour une utilisation sub du class A/B.
Pourquoi tu changes ton klipsch sw-112 ?